Le Village Intacte

Ali passa dans la ruelle et tombas sur la jeunne fille.
Elle rentra dans un maisopn abandonner, pris la jeune fille et la couchas sur un paillaisse, lle allumas un feu.
Elle entendi patiamant qu'elle se réveille. Elle retiras son armue et ne garda qu'une robe bleu.

-ALI!!! c'est toi? cria la jeune fée
elle se présipita vers la silhouete

Alifayn se leva d'un bon et couru vers sa vielle amie. Cela faisait des jours qu'elle n'avais aucun signe de vie exterieur. Elle lui sauta au cou.

- Eirélav, j'ai eu si peur que tu es péris!

Il fallait trouver le moyen de rassembler tout les survivants, unis ils seraient plus fort, mais y avaient-il des survivants? A cette pensée, un nuage plus sombre vint faire ombrage au moment si heureux. Elle n'était pas seule et Eiréval vivait toujours!

elle la serra tres fort mais la sentit pleurer dans ses bras
-qu'est-ce que tu as?
elle voulu lui remonter le moral en fesant des acrobaties dans les airs, mais au moment de s'envoler, elle se rapella que ses ailes avait disparu...
-Ah ZUT!

- C'est juste que je suis heureuse de te retrouver, je n'ai vue personne depuis des mois, je croyais que tous avait échouer.
Elle remarqua le getse de son amie, elle séchas ses larmes.
- Ou sont passé tes ailes?
Ce fut la première fois qu'elle appercu son amie sans ailes. POur une fée, cela étais bien étrange, après ses long mois passer sans aucune compagnie, l'idée de former un groupe de survivant lui parraissait la meilleur solution, le seul problème c'étais de les retrouver.

amos venait de se reveiller il entendit la douce vois d'alifayn, se croyant dans un reve... il se mit a se pincer, voyant que cela ne menait a rien, il ouvrit les yeux et vit alifayn et une fée sans ailles, tres jolie, enveloppé d'un aura bleuté il clignat des yeux quelque fois pour etre sur de ne pas etre victime d'halutination et continua de la regarder, intriguer.

il vit alors qu'alifayn tournait les yeux vers lui, il se cacha rapidement derriere un buisson

(amos... ton image est un peu grosse...)

se sentant observée, ereilav se retourna mais vit rien derriere elle

-tu n'as rien entendu toi?

Alifayn avait entendu un petit crépitement de branches mais en penssant que ce ne fut qu'un simple petit animale qui courrais, elle n'en avait pas parler a son amie.

- Oui en effet, ça semblais provenir de la. Dit-elle en pointant quelque petit buisson et des arbres. Elle lui fit signe d'aller jeter un oeil histoire de se rassuré. Depuis que la sorcière avait attaquer son amie, Alifayn redoutai l'instant ou la harpie reviendrait les achevé. Comme personne ne la connaissais, elle ignorait l'an passer je suis aller dans une autre callsse pour fair un travail et toute la classnt elle était capable. Les évênemtn des derniers mois l'avait rendu nerveuse et elle craignais a tout moment être attaquer.

quand il vit alifayn approché, il se mit a trembler, il ne voulait pas qu'elle le decouvre, il ne saurait pas comment reagir... il empogna sa dague, on ne sait jamais quelle serait sa reaction...

Plus Ali s'approchais, plus les bruits étaient rare. Elle stoppa a un mètre du buisson, son arc levé et paré, d'une voix pleine d'assurance elle ordona:

- Montre ton visage étranger

Ce ne fut pas un être humain qui sortie en peur de sa cache mais un lièvre. Ali fit le saut et baissant son arme, elle tourna vers sa compagne. Encore une fois, l'image de son amie dépourvue de sa plus grande caractéristique la surpris.

- Ou sont tes ailes?

Eirélav était encore sur le choc d'avoir perdue ses ailes, Au souvenir de cette douleur, elle se mit a trembler.
Elle s'agrippa a la main de son amie et lui chuchota:

-cest la Sorciere... Elle ma jeté un sort, mes ailes ont tombé et disparu... Je ne pourrai plus jamais voler!

Et elle s'éffondra sur le sol en sanglot.

L'elfe se pencha sur son amie et la serra fort dans ses bras. Doucement elle la supplia de cesser de pleurer.

- Chut, tout vas bien. Ce n'est pas grave. Chut ne pleure plus s'il te plaît
Bien qu'elle ne croyais nullement ses paroles elle les répètait sans cesse. Elle était déseperé et si fatiguée de cette vie qui ne lui permettait jamais de connaître le calme.

- Calme toi, tenta t-elle à nouveau, aucun sort n'es irréversible tu le sais bien. Allons tu retrouvera tes ailes. Arrête s'il te plat.

En fait elle n'en avais pas la moindre idée mais c'était le seul arguments qui lui permetterai peut-être de ravaler ses sanglots et de sécher ses larmes.